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L’Aigle à Deux Têtes : Clin d’œil historique, en souvenir de l’emblème des Habsbourg. La Franche-Comté a appartenu à la Maison d’Autriche de 1477 à 1678.
2005 : création. C’était un rêve de longue date pour Henri Le Roy. Après des études scientifiques, une carrière dans de grandes entreprises, il était temps de passer à l’acte. Le Jura, choisi pour sa beauté, ses terroirs qui donnent de si bons vins... Sans oublier les pistes de ski de fond à proximité, car ce sport merveilleux est aussi une passion pour Henri.
Les méthodes : une culture naturelle (certifiée bio depuis 2016) et des vins élevés simplement, naturellement. On ne corrige rien, on laisse parler le millésime et le terroir.
La vigne a été implantée par les Romains et poussait dans toute la Franche-Comté. Les vins étaient appréciés, surtout ceux des cépages Poulsard, Chardonnay, Savagnin, Pinot noir et Trousseau.
Comme partout en Europe, plusieurs fléaux sont venus bouleverser les choses : l’oïdium vers 1845, qui dévasta le vignoble de l’Europe entière, puis le mildiou et le phylloxéra.
Si le problème de ce dernier a été résolu par le greffage, il est, hélas, vital de traiter contre les deux cryptogames. Si on ne traite pas, pas de récolte. Si on ne traite plus du tout, la vigne meurt en quelques années. En bio, on traite tout autant, mais avec des produits non toxiques : le soufre et le cuivre principalement. Et en doses assez faibles pour ne pas polluer.
La guerre 14-18, le train qui amenait des vins du sud de la France, ont eu raison de la plus grande partie des vignes. En particulier celles proches de Lons le Saunier car les habitants pouvaient aller travailler à l’usine.
Aujourd’hui, grâce à la persévérance des vignerons, les vignes se replantent et des vins fantastiques jaillissent de partout.